Avec quelques mois de retard, voilà un petit article sur l'album de l'ami Huoratron, écrit par notre deuxième nouveau rédacteur sur le blog :
Notre grand artiste Finlandais Huoratron nous a régalé d'un album sorti début février, Cryptocracy.
Outre son style inédit on est en droit de se demander si des substances nourrissent son inspiration ou que simplement la richesse de son univers personnel suffit.
L'album se compose de 10 tracks aussi surprenantes les unes que les autres par leur variété.
Huoratron caractérise son style par des synthés 8 bits appuyés par des basslines sales et répétitives pour ensuite glisser imperceptiblement vers quelque chose de totalement différent.
Il faut savoir que le barbu est perfectionniste et passe beaucoup de temps en studio seul pour peaufiner au mieux ses créations et qu'il en soit entièrement satisfait.
Chaque écoute est une expérience personnelle pour ceux qui savent se retrouver dans son univers.
Outre son style inédit on est en droit de se demander si des substances nourrissent son inspiration ou que simplement la richesse de son univers personnel suffit.
L'album se compose de 10 tracks aussi surprenantes les unes que les autres par leur variété.
Huoratron caractérise son style par des synthés 8 bits appuyés par des basslines sales et répétitives pour ensuite glisser imperceptiblement vers quelque chose de totalement différent.
Il faut savoir que le barbu est perfectionniste et passe beaucoup de temps en studio seul pour peaufiner au mieux ses créations et qu'il en soit entièrement satisfait.
Chaque écoute est une expérience personnelle pour ceux qui savent se retrouver dans son univers.
Je donnerais une mention spéciale à 3 tracks :
- Force Majeure, outre le clin d’œil aux francophones le rythme est millimétré et le beat percutant.
- A699, ici on retrouve le Huoratron de Corporate Occult, sûrement la mieux élaborée de l'album.
- Sea of Meat, avec des influences provenant du Dubstep certes répétitive mais pardonnée à 2:03.
- A699, ici on retrouve le Huoratron de Corporate Occult, sûrement la mieux élaborée de l'album.
- Sea of Meat, avec des influences provenant du Dubstep certes répétitive mais pardonnée à 2:03.
Seule
ombre au tableau New Wave of Mutilation, malgré une ressemblance avec
le grand Mr.Oizo se retrouve relativement confuse après l'introduction
du thème."
Manoah
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